La mort fait toujours irruption dans le quotidien de nos vies avec une violence qu’il nous est difficile d’anticiper (C.Faure). Qu’elle soit attendue, ou brutale et inattendue elle vient toujours trahir notre insouciance, notre sentiment profond d’invulnérabilité et de sécurité.
Mais la mort fait aussi irruption dans un fonctionnement sociétal encore très pudique voire défensif imposant finalement des conduites normatives et codifiées parfois bien étrangères à ce que l’on éprouve dans son cœur et dans sa chair.
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