La dernière campagne nationale de prévention de la mort subite du nourrisson (MSN), réalisée en 1998, a permis de faire baisser de 75 % la mortalité infantile. Pourtant, 200 décès de tout-petits pourraient être évités chaque année en France si les parents étaient mieux informés. Naître et vivre fait le point sur les mesures de prévention de la mort subite du nourrisson.

La majorité des cas de mort inattendue du nourrisson (MIN) surviennent au domicile, pendant le sommeil de l’enfant. Lorsque les examens post-mortem ne permettent pas d’expliquer le décès, la MIN est requalifiée en mort subite, ou syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN). Certains facteurs de risque de MSN ont toutefois été identifiés.

On distingue les facteurs de risque non évitables, comme l’âge, le sexe, le faible poids de naissance (hypotrophie), la prématurité, et les facteurs de risque évitables, sur lesquels il est possible d’agir pour éviter le décès de l’enfant. Ce sont les leviers de prévention de la mort subite du nourrisson.

Ces facteurs sont plus largement expliqués lors des formations de prévention de la mort subite du nourrisson dispensées par Naître et vivre.

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