Soutien de Naître et Vivre à la recherche médicale
Agir avec Naître et Vivre
Naître et vivre est reconnue d’utilité publique depuis 1991 pour les actions qu’elle réalise, notamment dans le domaine de la prévention et du soutien à la recherche.
Naître et vivre, partenaire de la recherche sur la MIN
Notre soutien à la recherche regroupe un ensemble d’initiatives permettant de lutter concrètement contre l’incidence de la MIN et de construire des messages de prévention ciblés :
- allocations de bourses de recherche consacrées à l’étude de ce syndrome, notamment aux causes non élucidées de MSN (pathologies prédisposantes, rôle des facteurs socio-environnementaux, génétiques, médicamenteux…) ;
- partenariat avec des organismes de recherche (ANCReMin, ISPID, ANPDE) ;
- participation à des colloques et des congrès, nationaux et internationaux (Colloque national en soins infirmiers, Journée nationale des puéricultrices, Congrès national de l’ANCreMIN, Conférence d’Amsterdam, etc.) ;
- actions concrètes en faveur de l’amélioration des connaissances épidémiologiques (soutien financier à la création de l’Observatoire national de la MIN par exemple).
Pourquoi soutenir la recherche ?
La dernière campagne nationale de prévention de la mort inattendue du nourrisson a été réalisée dans les années 1990, avec le soutien de Naître et vivre. Malgré son impact réel sur l’incidence de ce syndrome, elle n’a pas été reconduite par le ministère de la Santé.
Notre conviction est que l’obtention de données scientifiques précises doit :
- inciter les pouvoirs publics à mener une réelle politique de prévention ;
- optimiser les messages de prévention vis-à-vis du grand public et des professionnels de santé ;
- mieux organiser les prises en charge dans les centres de référence afin d’améliorer la compréhension de la MIN.
Agir ensemble contre la MIN
Naître et Vivre bénéficie de très peu d’aide publique, malgré la reconnaissance de son action en faveur de la recherche et de la prévention. Les dons, subventions privées et contributions de nos adhérents constituent donc nos ressources. Ils ont permis à l’Observatoire national de la MIN de voir enfin le jour en 2015 puisqu’ils ont représenté 50 % des ressources nécessaires à la création de cet organisme.
Nous aider, c’est nous permettre de continuer à soutenir des projets de recherche et à mener des actions de prévention pour faire reculer durablement la mortalité des nourrissons.